Nos voyants Astroconsult vous répondent
au

Bienvenue sur le blog de Yano Eliah

***Les 6 ou 5 blessures Archaïques***

 

 

Appelées aussi blessures de l'âme!

Nous portons tous en nous des blessures archaïques qui parfois « handicapent » notre vie et nous mettent en souffrance. Certaines personnes peuvent en être affectées plus que d’autres, ou pas du tout, restant néanmoins sous-jacentes, bien tapies.

Pour chacun, certaines prédominent, c’est ce qui explique que tout le monde ne « souffre» pas des mêmes blessures.

Ces blessures sont véhiculées de génération en génération, « portées » par la famille et sont donc inconsciemment transmise au fœtus au moment de la fécondation, puis se « biologisent ».

Elles sont ensuite renforcées par des situations que l’on attire sans en avoir conscience, c’est ce que l’on appelle la loi d’attraction, ce qui fait que bien malgré nous, nous pouvons passer de bourreaux à victimes et inversement.

Voici les principales blessures et leurs signification majeurs:

L’abandon, le rejet, l’injustice, l’humiliation et la trahison, mais elles en « abritent » bien d’autres comme, se sentir dévalorisé, mésestimé, incompris, nié, etc.

Il y a une différence à faire entre avoir été réellement abandonné, rejeté, humilié, ou s’être senti abandonné, rejeté, humilié… Avoir le ressenti, ne signifie pas qu’en réalité on l’a été. Lors d’une situation, le mental saisit un fait et se l’approprie et fait abstraction de tout le reste. Ce fait est monté en épingle dans notre esprit et les émotions qui en découlent répondent à des blessures enfouies. Nous ne voyons plus la réalité dans son ensemble, nous réagissons en fonction de notre monde émotionnel.

Toutes les « blessures » sont des manifestés, l’expression de conflits archaïques non-résolus par la généalogie qui, à travers la souffrance cherchent à être « guéris ». Elles sont ressenties avec plus ou moins d’intensité selon ce qui est « donné » à chacun de vivre pour les résoudre. Il arrive même, que le conflit s’arrête lorsqu’il n’y a pas d’enfant, comme pour dire « plus jamais ça » !

Elles sont donc vécues très tôt dans l’enfance, parfois même en-utérin. Ensuite, si elles ne sont pas cicatrisées, elles restent actives, et seront revécues plusieurs fois dans la vie d’adulte en écho. C’est la raison pour laquelle, on reconnecte nos blessures, au travers de situations qui les restimulent et les réactivent. C’est là, une occasion pour l’adulte que nous sommes devenus de les guérir, c’est comme un appel de l’enfant intérieur, à la guérison (guéris-sont) de ses souffrances. Si l’on reste sourd à cet appel, ces blessures se renforceront.

Toutes ces blessures mettent en exergue le pouvoir que l’autre a sur soi, qu’il lui soit donné ou pas.

L'humiliation:arrive à partir de l'enfance, à l'école à l'age de nos mémoires cellulaires 6 ans. les enfants sont méchant entre eux dans l'inconscient.

Pour l’humiliation, le jeune enfant peut à son tour être objet de « défouloir » ou recevoir une éducation trop « cassante » faite dans la dévalorisation ou la soumission. Il peut aussi voir cette attitude reproduite sur un ou plusieurs membres de la famille ou bien encore, reproduire lui-même, les mêmes attitudes et réactions que ces parents.

Les réprimandes, gifles, punitions… faites devant des tiers peuvent l’humilier et il peut en ressentir de la honte. Les réflexions qui lui sont faites en le dévalorisant peuvent l’amener à se sentir nul et souffrir d’un complexe d’infériorité, ou de supériorité pour masquer cette image qu’il se fait de lui-même. Il peut même être enclin à humilier lui-même de manière souvent inconsciente. Cette forme de maltraitance n’est pas seulement physique elle est aussi psychique. L’enfant est soumis aux humeurs, de ce ou ses parents, comme s’il était un objet sur lequel on peut librement se défouler.

Mais il peut tout aussi bien éprouver de l’humiliation, s’il se sent montré du doigt avec un air moqueur devant ses petits camarades, les exemples ne manquent pas.

La trahison:"d'ou l'expression, prendre un couteau dans le dos"

Elle peut être ressentie lors du complexe d’œdipe où l’enfant est « amoureux » de son père ou de sa mère, et que dans son imaginaire il veut l’épouser. Il ressent cette blessure surtout lorsque ce parent garde une certaine fusion et entretient inconsciemment ce phantasme. Lorsque l’enfant se rend compte qu’il lui échappe ne pouvant rivaliser avec l’autre parent, il se sent trahi.

Il intègre le fait qu’il ne peut avoir confiance en l’être aimé, au risque d’être trahi par lui. Par conséquent, il peut avoir des difficultés à donner sa confiance et à se laisser aller à aimer. Il sera enclin à diriger et contrôler.

L'abandon:

La peur d’être abandonné est telle, qu’il est difficile d’être soi-même et de s’affirmer. A travers les relations, il y a une recherche consciente ou inconsciente de se sentir aimer, reconnu, protégé, regardé et donc, pour « plaire », il est possible que cela soit « calculé » adapté aux désirs de l’autre, sans que cela soit conscient.

Pour celui ou celle qui souffre de cette blessure, rien n’est plus pire que d’être ou de se sentir abandonné. Ces personnes se sentent perdues, profondément seules, délaissées, vides. (ma propre mère à été abandonné, à sa naissance) Moi même j'ai toute ma vie ressenti ce sentiment d'abandon et du fait est eu une vie sentimentale défectueuse, dont j'ai pris conscience maintenant.

Un petit enfant couvé, choyé et fusionnel à sa mère, peut ressentir l’abandon dès qu’elle se sépare de lui pour une durée plus ou moins longue. Cette séparation n’est pas un abandon, mais c’est ressenti comme tel par l’enfant. La cause en est dans la manière dont il a perçu la scène. En imaginant que la mère soit partie avec un grand sourire en sachant qu’elle récupère son enfant, alors que l’enfant est en pleur, l’enfant comprend qu’elle est heureuse de l’abandonner.

Par la suite, sa vie va être fortement influencée par cet incident vécu comme dramatique. Il développera un système de défense et d’évitement de toutes situations jugées à risques, en faisant en sorte par exemple, de s’entourer pour ne pas être seul. Il peut aussi avoir besoin de combler « ce manque » de l’enfance, en étant « boulimique » que ce soit de nourriture ou autre, ou "addiction". Il peut aussi se fortifier de l’extérieur en étant enveloppé, pour protéger sa fragilité intérieure ou pour être vu, etc. Mais quelles que soient les stratégies mises en œuvre par son inconscient, il y a de fortes chances qu’il se heurte à de nouvelles situations d’abandon en effet miroir à cette blessure.

L'injustice

Un autre enfant peut ressentir de l’injustice dans ce même type de situation et le prendre comme une punition injuste. En imaginant qu’auparavant, il ait ressenti à plusieurs reprises qu’une différence était faite entre lui et son frère par la mère et que celle-ci, emmène avec elle ce frère en le laissant lui, cette blessure s’enkyste.

Il trouve injuste de voir son frère partir avec sa mère et pas lui. Cela peut faire de lui quelqu’un qui se bat contre l’injustice, un protecteur des institutions, à la recherche de la « vérité ». Il peut se heurter à des situations d’injustice et sera peut-être lui-même injuste dans son intolérance. Il n’est pas rare que cette blessure se retrouve dans les familles éclatées, éparpillées, séparés, reconstruites…

Le rejet

Dans une même situation, un autre enfant aurait tout aussi bien pu vivre le rejet. En imaginant que dans l’esprit de la mère au moment de sa grossesse, elle trouve qu’il n’est pas le bienvenu, ne sachant pas comment l’élever ayant que peu de moyens pour vivre. Cette blessure sera vécue intra-utérin.

Il suffit ensuite lors de sa venue au monde, d’une attitude répétée, un regard insistant désapprobateur, pour qu’il le saisisse comme un rejet de sa personne. Plus tard, il rencontrera des situations de rejet en écho à cette blessure.

A l’inverse de celui qui ressent l’abandon, son physique sera sans doute plus mince, peut être une tendance à l’anorexie et développera une timidité qui l’isolera des autres. Ne se sentant pas le bienvenu, il pense n’avoir pas droit à l’existence, il peut être même habité d’un sentiment d’autodestruction.

Pour se sentir bien accueilli au sein de sa famille, il faut se sentir accepté, reconnu et aimé.

Il y en a qui dès la naissance, n’ont pas reçu cette reconnaissance qu’ils vont ensuite rechercher à travers leurs relations quelles qu’elles soient. Je pense à des enfants non-reconnus par leur père qui peuvent souffrir de problèmes liés à l’identité et de nom ou de « non ». Cette non-reconnaissance, ils la retrouveront aussi dans les non-reconnaissances de leurs talents, œuvres, passions, etc. La non-reconnaissance s’apparente à l’abandon, mais c’est vécu comme étant quelque part nié .

Ainsi, ce qui a été vécu enfant de « douloureux » peut être destructeur, provoquant du mal-être et surtout cela empêche d’être soi-même. Il y a une répercussion sur le regard que l’on porte sur le monde qui nous entoure, sur l’image que l’on se fait de soi et des autres. Il y a une recherche inconsciente de s’attirer des personnes ayant les mêmes « souffrances ». C’est pourquoi, il arrive que certains ressentent souvent les mêmes blessures durant leur vie. Dès la moindre alerte, un système de défense se met en œuvre parce qu’elles ne sont pas cicatrisées, ni « gaie-rit ».

Pour aller vers la guérison, il faut prendre conscience que toutes situations nous mettent face à ce que l’on a à guérir.

Elles répondent à un appel inconscient qui fait partie de la loi d’attraction. Nous sommes responsables inconsciemment de ce que l’on attire, et donc de ce qui vient à nous. Il faut bien comprendre que nos « blessures » est un héritage légué par notre généalogie, qui cherchent à être guéries. Nous en sommes les victimes, tout autant que nos « bourreaux » et nous avons le pouvoir de mettre fin à cette transmission, en comprenant avant tout le processus.

Notre mental parfois nous leurre pour nourrir nos blessures en saisissant un fait d’une situation, et pour se faire, il fait abstraction du reste. Les émotions ressenties nous reconnectent à cette blessure et tant que nous sommes sous leurs emprises, nous ne sommes pas objectifs.

On ne peut pas refaire le passé, il est mort, mais il fait parti de notre mémoire. Pour ne plus lui donner « vie », un travail d’acceptation est nécessaire.


Vous aimerez aussi...


Bienvenue !

Aidez-nous à vous offrir une expérience optimale ! Identifiez-vous et profitez pleinement de Wengo.