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Calendrier de l'avent J-22

Calendrier de l'avent

 

Bonjour à Tous,

Nous voilà déjà à la 10ème Pensée du jour. Nous avons abordé jusque-là essentiellement les concepts du bonheur, de la conscience et de la sagesse de l’Esprit. Aujourd’hui, j’ai le plaisir de partager avec vous une pensée positive, nous invitant à être dans une relation plus harmonieuse avec notre corps. Nous savons qu’il est essentiel de prendre soin de soi dans notre relation Esprit – Âme et Corps, cependant, au quotidien, nous focalisons davantage notre attention sur nos pensées, à en oublier, souvent, nos états d’Âme, notre Corps et l’intime relation qu’ils entretiennent entre eux. Et si nous portions notre regard intérieur et extérieur sur notre cher et précieux véhicule ? Le temps d’une journée, mettons-nous au défi de « penser » par les ressentis de notre corps…

Bon J-22 !

 

 

Médit-action du Jour :

La relation que j’entretiens avec mon corps est tout aussi importante que celle que j’entretiens avec mon Âme et mon Esprit. Ce sont des parties de Moi, qui interagissent entre elles constamment, même si, le plus souvent, je n’en ai pas conscience. La plupart du temps, ma tête pense, mon corps exécute et mon Âme transcende (ou pas…). Et pendant que je ne pense qu’à penser, mon corps agit « tout seul ». Telle une machine merveilleusement intelligente et rôdée, depuis ma naissance, mon corps s’adapte à mes besoins, et suit mes désidératas, mes rythmes cadencés ou mes exigences désynchronisées. Il me porte, il me tolère et il encaisse, malgré mes excès et, pourtant, je l’oublie le plus souvent… C’est surtout quand il devient las ou souffrant que je me rappelle à son bon souvenir. Et là, je râle, je lui en veux et je le traite comme s’il m’était étranger, quand je ne le considère pas comme un faux ami, alors qu’il est toujours fidèle… à mes pensées, mes émotions et mes états d’âme qu’il gère toujours du mieux qu’il peut !

 

Aujourd’hui, quand je me lève, quand je marche, et quand je respire, je mange, je ris, je parle, je digère, je bois : je PENSE AVEC MON CORPS, je l’écoute, je vis pleinement mes gestes et j’observe mes sensations A TRAVERS LUI. Je me laisse prendre le temps de l’OBSERVER et de LE vivre, et je pourrais même sentir plus fortement les battements de mon cœur, le sang qui coule dans mes veines, les pulsations de mon pouls, les sensations de mes muscles… de mes pieds jusqu’au sommet de mon crâne. J’établis le dialogue avec mon CORPS, en prenant conscience de chacune de mes actions à travers lui et grâce à lui. Et en me laissant porter par lui, je prends conscience de la légèreté d’être en osmose avec lui, de la faculté qu’il a de « sentir » mon environnement, quand il est agité, calme, sécure ou dangereux : il PENSE PAR LUI-MÊME et il m’envoie continuellement des signaux, pour me dire ce qu’il sait être bon pour moi / pour nous, ou pas.

 

Les émotions que je ressens, avant même que j’en prenne conscience, il me les traduit. Les appréhensions que je porte en moi, il me les exprime, pour que j’en prenne mieux conscience. Les aliments, les relations, les environnements qui me sont bénéfiques : il me les fait sentir, par une attraction ou un bien-être facilement perceptibles, et inversement…

 

Intérieurement, je contacte mon corps pour le découvrir jusque dans ses plus subtiles sensations. Et s’il m’exprime des nœuds ou de la douleur, comme pour un enfant qui vient de s’érafler le genou, je lui apporte l’attention et le soin dont il a besoin. Inconsciemment, nous avons souvent vite fait de ne pas écouter ses maux, de les dénigrer voire de le maltraiter quand il a mal : traite t-on le mal par le mal ? Quand un enfant a un bobo, va t-on taper dessus pour que ça s’arrête ou y apporter les soins et le réconfort nécessaires ?

 

Extérieurement, je prends le temps de regarder mon corps, autrement que par la critique ou l’insatisfaction qu’il ne soit pas à l’image que j’en aurais souhaité. Rares sont ceux – s'ils existent vraiment – qui aiment leur corps dans son intégralité : il y a toujours quelque chose qui n’est pas assez, ou qui est trop… Comme pour la météo, notre belle-mère ou nos parents, parfois, on aimerait qu’il en soit autrement. Pourtant, il nous faut faire avec, sinon c’est s’aventurer dans une lutte perpétuelle et vaine contre soi-même… Nous n’avons pas d’autre alternative que d’apprendre à réellement nous aimer et à aimer notre corps, comme notre belle-mère ou le chien de notre conjoint(e), sinon ils se retourneront, tôt ou tard, contre nous, à force de les renier ou de mal les aimer… Et si la dispute et le clash avec la belle-mère ou le conjoint peuvent être, parfois, salutaires, avec notre corps, en revanche, c’est le début d’un conflit qui ne fera que nourrir le corps de souffrance, les tensions intérieures, puis nos pensées et notre Âme, comme une avalanche qui n’en finit pas de faire tomber le froid et l’incompréhension dans notre relation à nous-même !

 

Si vous trouvez que vous avez des bras trop courts : apprenez à apprécier les avantages que cela vous procure (il y en a forcément : comme de ne pas avoir à lever les coudes pour porter les sacs de course, qui traîneraient par terre, sinon...). Si vous trouvez que vous avez de trop grandes oreilles, de trop grands pieds, un gros nez : regardez les d’un œil nouveau et bienveillant, considérez-les comme ce qui vous distingue des autres, et surtout comme faisant partie de votre Tout, et non plus en focalisant sur CE point que vous n’aimiez pas avant. En apprenant à ne plus souffrir de son complexe – et tout le monde en a ! – on lui donne la place et la taille qu’il mérite, et on n’a plus besoin de le regarder à la loupe et de louper le reste… : l’essentiel, en nous et tout autour et, aussi, le plus beau, en nous et dans notre corps. Car finalement, focaliser sur ce qui ne va pas (et il y a toujours quelque chose qui va de travers, en nous comme dans la vie !) on n’en finit par ne voir qu’à travers cette vision rétrécie, négative et subjective, qui plus est, et cela ne fait que nous entraîner droit dans le mur de la tristesse, du désamour et du repli – plus ou moins perceptibles selon la taille de votre loupe -, tout comme l’élève qui apprend à conduire et qui focalise sur les trottoirs qu’il a peur de toucher et vers lesquels il se dirige FORCEMENT et AUTOMATIQUEMENT, parce que c’est là qu’est focalisée toute son attention !

 

EN CONCLUSION

Il vaut mieux regarder ce qui nous plaît et plus ce qui ne nous plaît pas, pour aller là où l’on veut et non là où l’on ne veut justement pas aller.

 

DONC

Aujourd’hui, décidons de conduire notre véhicule avec plaisir et en conscience, et écoutons les signaux qu’il nous envoie : la route peut être harmonieuse ou laborieuse, selon l’attention que nous lui porterons…

 

Bonne conduite, Chers Tous, dans l’Amour de vous-même et avec votre précieux véhicule !

 

A demain…

Chaleureusement vôtre,

Ambre


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